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13 juin 2017

L’impact environnemental de la Maison du développement durable (MDD) s’avère 3,27 fois moindre qu’un bâtiment conventionnel.

C’est ce qui ressort d’une étude comparative de l’impact des matériaux de la MDD et d’un bâtiment de référence conventionnel. Elle se fonde sur une analyse de cycle de vie menée au moyen de l’Impact Estimator de l’Institut Athena.

Intitulée Analyse du cycle de vie de la Maison du développement durable :
l’impact des matériaux (PDF)
, cette étude démontre que la MDD est plus performante dans six des sept catégories d’impacts environnementaux évalués. Ainsi, sur une période de 50 ans, cet édifice de bureaux LEED-NC Platine émettra 9 343 tonnes de gaz à effet de serre de moins que le bâtiment de référence.

La Maison du développement durable - Photo de Marc Cramer

« Les résultats de cette analyse de cycle de vie démontrent que les bâtiments écologiques tels que la MDD tiennent effectivement leurs promesses environnementales. Nous souhaitons influencer et accompagner les décideurs immobiliers, chercheurs, étudiants et professionnels de l’industrie du bâtiment, pour les aider à faire des choix de matériaux et de technologies qui seront plus durables », explique Sidney Ribaux, directeur général d’Équiterre, qui a piloté le projet de la Maison du développement durable.
« Nous souhaitons que cette analyse (…) puisse fournir des réponses et des pistes de réflexion aux professionnels de cette industrie en pleine mutation », ajoute de son côté Normand Roy, chargé de projets en bâtiment.

Source : Équiterre