La Banque Nationale vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) de ses opérations de 25 % d’ici 2025, par rapport aux niveaux de 2019.
Au nombre des stratégies préconisées pour atteindre cette cible figure la poursuite des efforts déployés par l’institution financière pour optimiser l’efficacité énergétique de ces installations. À cette fin, elle mise notamment sur son système de télégestion qui permet de gérer la consommation d’énergie de nombreuses succursales au moyen d’une interface Web.
Elle poursuivra également l’application des critères du système d’évaluation LEED pour plusieurs immeubles actuels et futurs, incluant pour son nouveau siège social actuellement en voie de réalisation au centre-ville de Montréal, projet visant l’obtention d’une certification LEED v4 Or.
D’autres mesures contribueront à la réduction des GES émis par les opérations de la Banque. Comme l’optimisation des déplacements d’affaires et l’adoption d’un modèle hybride faisant une place au travail à distance, pour ne citer que ces exemples.
Soulignons que suivant l’achat de crédits-carbone auprès de Conservation de la nature Canada et l’achat de droits d’émission auprès de Coop Carbone, la Banque Nationale a atteint ses objectifs de carboneutralité en 2019. Le même objectif est visé pour 2020.
La démarche de décarbonisation de l’institution vise à contribuer à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius, soit l’objectif le plus ambitieux de l’Accord de Paris.
« Mesurer l'impact de nos actions dans la lutte contre les changements climatiques est essentiel. Une réduction de 25 % de nos émissions de gaz à effet de serre est une cible ambitieuse qui va certainement nous demander de faire les choses différemment […] », indique Louis Vachon, président et chef de la direction de la Banque Nationale.
Source : Banque Nationale du Canada
